It is commonly known within the art of cutaneous/transcutaneous blood gas monitoring to warm up the skin of the patient to allow carbon dioxide and oxygen to diffuse easily through the skin. This is especially the case for transcutaneous partial pressure monitoring of oxygen. Heating the skin to 43° C. to 45° C. over several hours or days may cause damage to the skin. In order to avoid or minimize the risk of these damage, it is proposed to monitor the blood gases at a lower temperature with a cutaneous sensor, and intermittently warm up the skin to a temperature of 42° C. or more for a short duration to monitor the transcutaneous partial pressure of oxygen, before lowering the temperature to the lower set point.Il est bien connu dans l'art de la surveillance transcutanée/cutanée des gaz du sang de réchauffer la peau du patient pour permettre au dioxyde de carbone et à l'oxygène de se diffuser facilement à travers la peau. Ceci est notamment le cas pour la surveillance de la pression partielle transcutanée en oxygène. Le chauffage de la peau à 43°C à 45°C sur plusieurs heures ou jours peut occasionner des dommages à la peau. Afin d'éviter ou de réduire au minimum le risque de ces dommages, il est proposé de surveiller les gaz du sang à une température inférieure avec une sonde cutanée, et de chauffer par intermittence la peau à une température de 42°C ou plus pendant une courte durée pour surveiller la pression partielle transcutanée en oxygène, avant d'abaisser la température au point de consigne inférieur.